Axelle a des idées bien à elle…
Combinaison gagnante raconte l’histoire d’une jeune fille de 12 ans, Axelle Blanchard, originaire du Mans, née dans une famille de sport automobile dont le papa a été pilote Formule Un et dont les frères se destinent à la course. Évidemment, Axelle veut courir aussi, elle est folle de F1, mais ses parents ne voient pas son avenir de la même façon : le sport auto, ce n’est pas pour les filles ! Avec Guillaume, son frère complice qui ne rêve que de poésie mais doit s’entraîner pour la course, ils échangent leurs identités, et malgré quelques bâtons dans les roues, elle arrive à ses fins.
Axelle has ideas of her own…
Combinaison gagnante is the story of a 12-year old girl named Axelle Blanchard from Le Mans, France, whose family is steeped in the tradition of Formula 1 race car driving. Axelle’s father was an F1 pilot and her brothers are being groomed to take up his mantle. Axelle is crazy about Formula 1, and wants to race, too. But her parents have different ideas, in fact, they are downright opposed to Axelle getting involved in the sport. With a little help from her poetry-loving brother Guillaume whom the parents believe to be on the race track training, they exchange their roles, and in spite of obstacles in her path, Axelle finds a way to win the day.
Mon héroïne Axelle Blanchard rêve de courir en Formule 1. Son frère Guillaume, lui, aimerait bien en être dispensé ! Ils décident d’échanger leurs rôles, et sous la combinaison de son frère, Axelle fait ses débuts sur la piste. Qu’en est-il réellement des femmes et la Formule 1 ? Pourquoi Axelle doit-elle échanger son identité pour celle de son frère pour piloter un kart ?
My heroine Axelle Blanchard dreams of Formula 1 racing, while her brother Guillaume trains every week but would prefer to write poetry! They exchange roles, and dressed in her brother’s racing suit (combinaison) and helmet, Axelle runs her first races on the track. But what about women and Formula 1 in real life? Why must Axelle take on her brother’s identity in order to race?
L’idée d’écrire l’histoire d’Axelle m’est venue en apprenant à quel point les femmes sont quasiment absentes du monde du sport automobile.
The story of Axelle came to me when I learned to what extent women are largely absent from the world of race car driving.
Dans le livre, Axelle prend comme modèle une suissesse, Natacha Gachnang, qui à l'époque était une jeune pilote très prometteuse dans le sport automobile. Mais en 2020, c'est une britannique, Jamie Chadwick, qui est le grand espoir féminin de la course Formule Un. En 2019, Jamie a gagné la première édition des séries « W », un championnat entièrement féminin. Il n'y a qu'un pas à faire avant de piloter dans une course de Formule Un.
Tout comme mon héroïne fictive, Natacha et Jamie sont nées dans des familles bien encrées dans le sport automobile. Comme Axelle, c'est aujourd'hui Jamie qui rêve de passer à la F1. Le fait d’être femme ne l’arrête pas alors qu’elle évolue seule fille au milieu des garçons.
Il ne faut pas oublier que depuis les débuts du championnat de Formule 1 en 1950, elles ne sont que cinq femmes à s’être engagées dans un Grand Prix F1 pour plus de 1.000 pilotes masculins. La première fut une italienne, Maria Teresa de Filippis qui a pris en 1958 le volant d’une Maserati 250F lors du grand prix de Monaco. Après Maria Teresa, ce sont Lella Lombardi, italienne, de 1974 à 1976, Divina Galica, anglaise, de 1976 à 1978, Désiré Wilson, sud-africaine, en 1980, et Giovanna Amati, italienne, en 1992.
In the book, Axelle’s role model is Natacha Gachnang, a young Swiss woman who in 2010 was a promising figure in automobile racing. In 2020, the UK's Jamie Chadwick is the big hope for women in Formula One racing. In 2019, Jamie won the title of the "W" series' inaugural season. Which puts her just one step away of participating in a Formula One race.
Just like my book's fictitious heroine, both Natacha and Jamie grew up in families steeped in the tradition of automobile racing. Like Axelle, it's currently Jamie who dreams of advancing to F1. Being a woman is not going to stop her, despite the fact that she’s the only woman among a multitude of men!
Don’t forget that since its beginnings in 1950, Formula One championships have seen only five women engaged in a Grand Prix F1 race... for well over 1,000 men! The first one was Italian Maria Teresa de Filippis who in1958 competed in the Monaco Grand Prix in a Maserati 250F. After Maria Teresa’s racing in 1958 and 1959, she was followed by Italian Lella Lombardi from 1974 to1976, Englishwoman Divina Galic from 1976 to 1978, South African Désiré Wilson in 1980, and Italian Giovanni Amati in 1992.
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